Soirée Arts de la rue ce mardi 26 juillet

Actualités, Actualités culturellesPublié le 25 juillet 2022

Les Pique-Niques Kerhorres

La Ville du Relecq-Kerhuon et le Centre National des Arts de la Rue et de l’Espace Public Le Fourneau co-écrivent des moments fédérateurs et festifs alliant propositions artistiques et moments de convivialité autour d’un pique-nique partagé en espace public, au cœur des quartiers, au plus près des habitants.

  • Accès libre et gratuit
  • Apportez votre panier repas et votre nappe à carreaux
  • Merci de favoriser les déplacements doux : à pied, en vélo ou en trottinette
  • Les spectacles démarrent aux horaires indiqués, soyez à l’heure !

Ce mardi 26 juillet, 2 spectacles rythmeront la soirée dans un même quartier

19h12 - Le Magnifique Bon à Rien

Théâtre de rue et théâtre d’objets – Création 2018

Compagnie Chicken Street – Publy (39)

Après un détour par le détroit du Pôle Emploi, Serge Badoz, reconstitueur de palettes, est nommé directeur du « Sergiorama », le Cinémarama itinérant de la région. Seul, équipé de quelques planches, d’une vingtaine de palettes et d’un gros bouquet de ballons de baudruche, il réinvente à mains nues, sans trucage et sans assistance, les scènes cultes, les seconds rôles et les personnages principaux du film Le Bon, la Brute et le Truand.

Amateur et amatrice de western spaghetti, ne manquez pas l’occasion de redécouvrir le chef d’œuvre cinématographique de Sergio Leone grâce au talentueux Serge Badoz, le roi de la bricole !

21h21 - Le membre fantôme

Cirque acrobatique – Création 2020

Compagnie BaNCALE – Frouzin (31)

L’artiste de cirque flirte avec le danger allant parfois jusqu’à la sanction physique.

C’est ce qui est arrivé à Karim Randé, acrobate de la compagnie BaNCALE. En 2016, il se blesse sur une bascule coréenne et se fait amputer du pied droit. En compagnie de deux autres artistes, Karim Randé interroge le regard que nous portons sur la blessure, pointe du doigt la douleur vécue par les circassiens et révèlent au public la face cachée de la performance.

Le membre fantôme montre aussi que la douleur va de pair avec le dépassement de soi et que la blessure invite à se réinventer pour aller toujours plus loin. Sans être moralisateur ou culpabilisant, ce spectacle est un heureux pied de nez aux destins contrariés, un pur concentré d’optimisme.

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